Contact

Centre de Danse et d’Études Chorégraphiques & Cie Trilogie Lénablou


Rue Paul Lacavé – Immeuble Viviès - Assainissement
97110 Pointe-à-Pitre, GUADELOUPE FWI

Tél. : + 590 590.82.99.63 - Fax : + 590 590.83.78.99
Mail : lenablou@wanadoo.fr

Presse





France Antilles - 28 septembre 2009





The Trinidad Guardian 17 août 2009




Le Monde 29 Avril 09



Orange News 8 Sept 09



TV Magazine Gpe juillet 2005




Le Nouvelliste - Haïti juin 2005




TV Magazine Mque mars 2005




France-Antilles Mque mars 2005





France-Antilles Gpe Février 2005










Diario Xalapa - Mexique 16 juin 2005




Diario Xalapa - Mexique 16 juin 2005




Représentation à Lafayette, USA




Représentation à Lafayette, USA




Représentation à l'Afro American Cultural Center, Charlotte USA








France-Antilles Février 2003





TV Mag Août 2001

Centre de Danse et d’Études Chorégraphiques – C.D.E.C

Le Centre de Danse et D’Études Chorégraphiques (C.D.E.C), situé dans la ville de Pointe-à-Pitre (Guadeloupe), fut créé par Lénablou en 1990.



© François Laroulandie
Le C.D.E.C propose plusieurs techniques : éveil, initiation, classique, barre à terre, jazz, moderne, contemporain, technique africaine et techni’ka.


C’est aujourd’hui une école de référence pour la rigueur, la qualité et les résultats de son enseignement. En effet, trois de ses élèves : Léo Lérus, Yannis François et Cécilia Daninthe ont intégré de prestigieuses écoles telles que le Conservatoire National de Paris, le  Rudra Béjart Ballet de Lausanne et l’École d’Alvin Ailey à New-York.


C’est un véritable pôle de ressources qui n’a cesse d’impulser des projets ambitieux afin de développer la danse en Guadeloupe et la faire rayonner à l’étranger, tels que : « Danser en Communes » (travail de sensibilisation à la danse en milieu rural), les « Trois Chemins de la danse » (colloque sur l‘émergence de la danse contemporaine caribéenne) et la Cie Entre-Deux (compagnie semi-professionnelle) qui a présenté un travail autour du concept d’espace-public lors de la mise en lumière de l’usine Darboussier de Pointe-à-Pitre.


CRÉATIONS C.D.E.C


     1992 : Bab Sal

     1994 : Désordres et Fragments d’Harmonie

     1996 : Le Passage Sacré

     1998 : « 1967 »

     2000 : Entre-nous

     2002 : Point Limite

     2004 : Voyage au Pays du Sari




© François Laroulandie

© François Laroulandie



 


     2006 / 2008 : Aladriv



© Daniel Goudrouffe

© Daniel Goudrouffe




La Cie Entre-Deux est une compagnie semi-professionnelle qui réunit en atelier plusieurs générations du C.D.E.C.



CRÉATIONS ENTRE-DEUX 

2007 : Survivance à l’usine Darboussier


« Darboussier » nous plonge dans un état abandonnique, l’impuissance nous emmure dans cette robustesse supposée…Puis soudain, Darboussier nous intime l’ordre d’entendre, de voir, de sentir que la vie est là, laissant place à l’imaginaire, à la créativité, au ciselage ininterrompu de l’art.



© Yohan Matou


2007 : Création Dominik Coco – L’espri Kaskod



© Daniel Goudrouffe



2009 : Tòl épi Kô


La tòl, matière noble et protectrice qui construit et tisse le paysage caribéen…
Elle se meut et joue de toutes les formes….
Elle sait nous chanter son air musical, quand les gouttes de pluie lui tombent dessus...
On l’habite, on la danse, on la transporte comme les cases d’antan….
Elle sait aussi nous effrayer quand l’oeil du cyclone est là….
« Tòl épi kô », partie d’une fusion entre le corps et la matière, entre le mouvement des membres et l’ondulation du métal, foisonnement des gestes, des postures…




© Daniel Goudrouffe


 




MÉMOIRES D’ÉLÈVES







« Plus qu’une école, une famille » - Karine P.

« C’était en 1989. lénablou donnait des cours de Jazz au Centre des Arts de Pointe-à-Pitre et je la rencontrais pour la première fois. Emmenée par mon père, je rencontre Léna. Elle est en plein cours, mais je me souviens qu’elle prend le temps de me regarder et de me dire bonjour, d’un signe de la tête, avant d’enchaîner les tours et les grands jetés. J’avais tout juste 10 ans et Léna était alors déjà devenue « Tatie Léna » !! Puis le CDEC a ouvert ses portes et aujourd’hui, c’est comme si je faisais partie des murs. J’y ai passé (et j’y passe encore !) quelques uns des meilleurs moments de ma vie. Car le CDEC, c’est ça. C’est ma vie, c’est ma famille. Au-delà de la danse, le CDEC m’a appris à grandir. J’y ai pleuré, j’y ai ri, je me suis souvent énervée, mais jamais je n’ai regretté d’avoir croisé le chemin du CDEC et celui de Léna. A travers la danse, j’ai surtout appris à ouvrir mon cœur et mon esprit aux autres, tels qu’ils sont. Le CDEC continue aujourd’hui de m’enrichir et réveille en moi des trésors de motivation, de création et de bien-être qui continuent de m’impressionner... !

« A l’école de la vie » - Géraldine P.

Pour moi le CDEC c’est avant tout une grande histoire d’amour. Je me souviens de mes débuts en 1992, je sortais de 9 ans de classique dans une autre école et j’ai débarqué au CDEC avec une envie irrépressible de faire du modern jazz. Mais avec Mme lénablou, les choses ne se passent pas forcément comme on l’entend. Son verdict : « Trop jeune pour le jazz ! Tu feras donc du moderne pendant un an ou deux pour former ton corps à cette nouvelle discipline ! ». Je n’étais pas ravie, c’est sûr ! Mais très vite la convivialité de cette école l’a emportée et j’ai aussi compris le bien fondé de la décision de Tatie Léna (comme nous la surnommions à l’époque). Ensuite place au jazz ! Enfin ! Mais il faut l’admettre, dans de bonne condition physique (Léna connaît son métier !). Le CDEC est une très bonne école, la meilleure selon moi. Et je dis ça après avoir fréquenté d’autres écoles en Guadeloupe et en Martinique. Ce n’est pas seulement une école de danse mais une école de la vie : on apprend à vivre en harmonie avec les autres et avec nous-mêmes. On y développe des relations durables avec des personnes qui partagent la même passion que nous, l’amour de la danse avec certes des objectifs différents mais avec la même fougue. Les spectacles de fin d’année sont à chaque fois des expériences inoubliables pour nous tous. Aujourd’hui j’ai 26 ans et si mon corps me le permet j’ai bien l’intention de continuer à danser ici pendant de longues années. Je tiens enfin à dire un grand merci à Mme lénablou et son équipe pour ces années de bonheur et de danse.


La Compagnie Trilogie


© François Laroulandie
La Cie Trilogie Lénablou, basée en Guadeloupe, a été fondée en 1995 avec une optique et une responsabilité très fortes : insérer dans la conscience collective guadeloupéenne que la danse est un métier, faire acte de la création en Guadeloupe, la pérenniser et révéler au monde qu’il existe une danse contemporaine autre.


© François Laroulandie
Depuis 15 ans, Lénablou ne cesse d’appuyer ses convictions à travers ses créations et continue de sonder la quiddité de l’écriture chorégraphique basée sur la Techni’ka.

La Cie Trilogie dans cet espace caribéen, nouvel espace des possibles se donne pour optique de faire du patrimoine « traditionnel » une nouvelle esthétique de la danse contemporaine. C’est en soi le travail que mène la compagnie au travers de ses créations et du parcours de sa chorégraphe Lénablou, pionnière dans cette esthétique.


© François Laroulandie
L’originalité et la contemporanéité de la Cie Trilogie trouvent écho au sein de la Caraïbe et sur le plan international. Aujourd’hui, elle est une figure marquante et incontournable de la création contemporaine caribéenne. Mais toujours consciente de son lien guadeloupéen, la compagnie Trilogie se mobilise pour faire connaître cette nouvelle forme d’écriture caribéenne au-delà des frontières.


La Compagnie Trilogie est conventionnée par la DRAC Guadeloupe.



CRÉATIONS


1995 : Funambule



« Marche, Funambule. A la recherche de la lumière du « Douvan-jou ». Lumière obscure…Marche, d’un pas assuré vers l’exposition du « Gran-jou » ». Alain Caprice



© Christian Géber

1997 : Danse en Trois Mouvements – Solitude ou deux âmes

« Solitude ou deux âmes », fait revivre la figure de la mulâtresse Solitude. Femme de combat, qui fut en 1802 aux côtés d’Ignace et de Delgrès, dans leur bataille pour la liberté des nègres. Ici, nous pénétrons dans l’intimité d’une femme, au-delà de son aspect guerrier.



© Christian Géber

2000 : Chimen Trasé

« Au commencement était la douleur…Et soudain le chemin s’est ouvert à nos pas comme tracé là depuis toujours. Et les corps se sont arrachés, débattus, pour s’envoler libres…Enfin ». Gisèle Pineau




© Nicolas Teboul

© Nicolas Teboul





2002 : Grenn Sel


© Emile Zeizig

S’immiscer dans l’univers du jeu…Trois hommes et une femme jouent à cache-cache, pour inventer de nouvelles règles aux jeux traditionnels et créer ainsi une danse inédite. « Jeu de Pichine », « Jeu de Bigidi », « Jeu de Rencontre ». Les dés sont jetés. Que la magie opère.



2004 : « Poussières d’EAU »


C’est la traversée des mers qui a permis la rencontre des peuples. Cet espace « eau » se meut alors en lieu d’édification, de construction d’une civilisation caribéenne. L’eau c’est la traversée d’hommes et de femmes, un dialogue incessant de flux et de reflux entre cet ailleurs et demain.



© François Laroulandie

2009 : « FENÊTRE SUR…Mon Bigidi et moi »


© Daniel Dabriou
Dans ce solo Lénablou nous impose son enfermement, celui du psyché îlien pour signifier la place du corps dans les sociétés caribéennes. Et peut-être qu'au bout de cette conversation entre vous et elle, perlera cette dialectique magique qui prend place entre le dansè et le makè dans les swaré léwoz.






© Daniel Dabriou

© Daniel Dabriou




Techni'Ka

… Elle dansait le Woulè, le Padjembèl, le Kaladja, le Toumblak, le Graj, le Léwòz comme on le lui avait transmis… Le seuil du Gwo-ka étant franchi, la danse lui permettait de pousser la porte de la technique…Mais son corps refusa l’idée de rejeter un style par rapport à un autre…




©Daniel Goudrouffe
A cette dialectique complexe chassé-croisé entre sa quête de soi : le Gwo-ka, la technique, la théorie et ses différentes influences, Lénablou répond Techni’Ka résultat de son travail de recherche et d’exploration chorégraphique au cœur de la culture guadeloupéenne. Legs avec lequel elle tisse un lien intuitif et sensible, quasi-intime, esquisse de cette ingéniosité créole.


A travers cet ouvrage, Lénablou endosse son habit de chercheur pour rendre compte d’une grammaire intelligible et du caractère contemporain de la danse traditionnelle en Guadeloupe. C’est également une démarche militante pour la revalorisation de ce patrimoine caribéen dans son ensemble.


Transcendant son rôle d’artiste, de danseuse et de chorégraphe, Lénablou avec son livre Techni’Ka pose ici un nouveau fondement qui participe plus que jamais à la construction de cet espace être caribéen. Nouveau fragment indéfectible de sa philosophie où cette fois le jeu des mots remplace celui du corps et du geste de manière à laisser des traces fortes et ainsi apporter un point d’ancrage académique à la réflexion nourrie et portée par la matrice Gwo-ka.


Au travers de la création, de la formation, de la transmission, de la recherche, toutes ces déclinaisons ou multiples facettes de la danse obligent Lénablou à pousser les limites de la passion pure pour y poser un regard scientifique, inquisiteur et pertinent qui se veut méthodologique et académique. Comme un rai de lumière sur le sentier du questionnement des possibles du Gwo-Ka.

Il ne s’agit plus simplement de créer, de danser ou d’enseigner mais de défendre et de revendiquer cette identité, ce territoire au monde : son existence, son savoir.


Le challenge de Lénablou est de sortir la création guadeloupéenne des griffes de l’exotisme et du stéréotype qui l’emprisonne et la stigmatise.

Au-delà de sa conscience et de son rapport intrinsèque avec la danse, elle ne cesse de toucher le cœur d’hommes, de femmes et de jeunes qui croient en elle et en leur pays. Chaque acte si petit soit-il vient conforter, enraciner avec force cette saisie d’une pensée, d’une philosophie artistique caribéenne, qui selon elle doit s’inscrire et se révéler aux yeux du monde.


Recherches sur l’émergence d’une méthode d’enseignement à partir des danses Gwo-Ka
Editions Jasor – 2005
Couverture : Georges Rovelas
Dessins : Marie-José Philétas
Préface : Jean-Claude Gallotta

Cet ouvrage a été réalisé avec le concours du Conseil Régional de la Guadeloupe.






Master-class de Techni’ka :
[La+cie+Trilogie+et+Maurice+Béjart.JPG]
2003- Rudra Béjart Lausanne

2004 - Caracas



[MASTER-CLASS+DE+TECHNI'KA,+Sénégal+07+-+photo+Antoine+Tempé.jpg]

Mai 2007 Association Jant'Bi Sénégal

©2002 - Jean-Claude Gallotta, Grenoble


Lénablou

e© Antoine Tempé Lénablou est depuis sa rencontre avec Jacqueline Cachemire-Thôle, à l’âge de six ans, pétrie par la danse et dévolue à la danse Gwo-ka. Elle découvre le métier de danseuse interprète aux côtés de Jean Nanga et renouvelle cette expérience avec d’autres chorégraphes : Quentin Rouiller, Jean-Jacques Vidal ; des metteurs en scène : Claude Moreau, Gerty Dambury et des musiciens : Luther François, Jacques Marie-Bass, Charly Chomereau-Lamotte.


Après des études d’infirmière et forte d’une volonté implacable, elle part à Paris. Elle obtient son D.E.U.G de danse à l’Université Sorbonne – Paris IV et son diplôme d’Interprétation Chorégraphique en Jazz. Parallèlement aux cours théoriques, elle participe à de nombreux stages pratiques toutes techniques confondues tant en Europe, aux États-Unis que dans la Caraïbe. Elle côtoie les plus grands dont Bruce Taylor, Carolyn Carlson, Walter Nicks, Alvin Mac Duffy, Anna Czajun, Jacqueline Fynaert, Dominique Bagouet, Alphonse Thiérou, Carlotta Ikéda, Joe Alégado, Frey Faust, Pascale Couillaud, entre autres…


Ce sont toutes ces expériences diverses et plurielles qui vont nourrir son inspiration et permettre l’éclosion d’un style très personnel, ancré dans le patrimoine traditionnel et populaire de la Guadeloupe : le Gwo-ka et pourtant résolument contemporain.


En 1993, après l’obtention de son diplôme d’État en Jazz et en Contemporain, elle axe davantage son travail sur la création pour définir son écriture chorégraphique.


Elle crée alors en 1995, la Cie Trilogie Lénablou, l’une des références majeures de la création guadeloupéenne.


Toujours en quête de perfectionnement et d’excellence, Lénablou obtient en 2003 le Certificat D’aptitude à enseigner en danse contemporaine où elle défend sa vision pédagogique et chorégraphique basée sur la philosophie du Gwo-ka.


Dès lors, au sein de sa compagnie, à travers son école, par ses recherches, elle manifeste sa détermination à transmettre cette esthétique chorégraphique issue de la tradition caribéenne : la TECHNI’KA.


Son travail fait écho chez de nombreux artistes dont Maurice Béjart qui l’invitera à animer un master-class au Ballet Rudra Béjart de Lausanne ainsi que Jean-Claude Gallotta au Centre Chorégraphique National de Grenoble.


En juin 2006, elle est invitée par le Festival Art à diriger un Workshop à Bogota (Colombie), puis en janvier elle effectue une conférence autour de ses travaux de recherches à la maison du patrimoine à Basse-Terre.


r En février, elle continue d’élargir ses champs d’explorations, en croisant les écritures avec la réalisatrice Sylvaine Dampierre pour son documentaire « Le Pays à l’envers » dont la sortie nationale est programmée le 29 avril 2009.







Elle continue dans le même temps la transmission de son savoir à l’occasion d’une série de stages aux Hivernales d’Avignon qui conduira la compagnie à être programmée à nouveau pour le festival « Quand les régions s’en mêlent… ».


En mai, Lénablou et ses musiciens sont invités par la chorégraphe Germaine Acogny lors de la Rencontre des Chorégraphes Africains et de la Diaspora au Sénégal.


Elle est également invitée par le chorégraphe de la Cie Artcho-danse répertoire en Haïti et par Norma Claire de la Cie Anti-Pôdes en Guyane. En août, elle co-dirige avec le chorégraphe Jean-Guy Saintus, le Workshop « le Corps miroir du temps » dans le cadre de Caraïbes en Création en collaboration avec Culture France.


En octobre, elle assure la création chorégraphique du spectacle musical de Dominik COCO, « Lèspri Kaskod », à L’Artchipel - Scène Nationale de la Guadeloupe.


En novembre, elle présente la réécriture de la pièce « Chimen Trasé » à l’ENCRE en Guyane dans le cadre du « Temps du Ké Kô », organisé par Julie ADAMI. En décembre 2007, l’Ambassade de France au Niger l’invite pour une mission d’expertise pour le compte du Ministère des Affaires Étrangères.


Sous l’initiative de la ville du Moule (Guadeloupe), est mis en place le projet « Transhumance de la Techni’ka ». Un projet transversal de formation et de diffusion de la Techni’ka, avec des stages, conférences et représentation de « Grenn Sèl ».


En mai, la Cie Trilogie est invitée au Festival de la Mangrove qui se tient au Centre National Chorégraphique d’Aix-en-Provence de Preljocaj – Pavillon Noir.


En juillet, Lénablou propose un master-class de danse Techni’ka au Festival International de Danse à Toulouse, à l’initiative du chorégraphe et danseur James Carlès. Puis en octobre 2008, elle apporte son aide à l’organisation des rencontres chorégraphiques : « Sonis danse sa partition » au Centre Culturel Sonis.


t
© Photo Alain Caprice
Reconnue pour ses années de recherche et de promotion de la culture Gwo-ka, la chorégraphe Lénablou est désignée au grade de Chevalier de l’Ordre de la Légion d’Honneur par Monsieur le Premier Ministre en novembre 2008. Une distinction qui vient récompenser le travail qu’elle a réalisé durant sa carrière. Le CDEC accueille pour des master-class le chorégraphe James Carlès du Centre James Carlès de Toulouse, Alan Danielson directeur de l’Institut José Limon de New-York et Andreew Greenwood (Hollande), maître de ballet et chorégraphe en danse classique.


Le 04 avril 2009 a été présenté pour la première fois le nouveau spectacle de la Cie Trilogie « Fenêtre Sur…Mon bigidi et moi » à l’Artchipel - Scène Nationale de la Guadeloupe. Plusieurs projets de diffusion concernant cette création sont prévus : le Festival Danses et Continents Noirs à Toulouse, le Centre Culturel Sonis des Abymes, une tournée au sein des Alliances Françaises de Nouvelle-Zélande et d’Asie du Sud-Est.


Enfin, suite à ses échanges avec le chorégraphe Ariry Andriamoratsiresy lors des Rencontres au Sénégal et du « Sonis danse sa partition », Lénablou a été invitée au Festival Labdihy à Madagascar.

Elle a récemment présenté sa nouvelle création au Festival EDANCO de Saint-Domingue, organisé par Edmundo Poy.